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Top 10 des films d'horreur à regarder pour Halloween en 2025 : frissons garantis sans spoiler

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21 octobre 2025

Halloween, est l'occasion idéale pour se plonger dans un bon film d’horreur au ciméma, ou depuis son canapé. Pour les amoureux du grand écran, Orange Luxembourg propose une offre unique : chaque mercredi, bénéficiez de deux tickets de cinéma pour le prix d’un dans tous les cinémas Kinepolis Luxembourg grâce au service Orange Wednesday. De quoi frissonner seul, ou accompagné.

Et pour tous ceux qui préfèrent se préparer une soirée frissons à la maison, la rédaction vous a sélectionné 10 films parfait pour une soirée Halloween en 2025. 

Notre top 10 des films pour Halloween 2025

Il y a des soirs où l’automne bascule. La brume s’épaissit, les fenêtres se couvrent de buée, une citrouille sourit un peu trop, et la bande-son du vent se cale sur des violons qui grincent. C’est la saison des frissons, celle qui donne envie de s’engloutir sous un plaid, de baisser les lumières et de se laisser posséder, l’espace d’une nuit, par l’épouvante. En tant que cinéphile, on traverse les légendes urbaines, les malédictions, les maisons hantées, les exorcismes et les slashers qui ont façonné notre imaginaire Halloween. 

Voici notre top 10 pour Halloween, avec huit films qui, chacun à sa manière, mettent l’ambiance. Promis: aucun spoiler. Et pour chaque titre, nous glissons où vous avez le plus de chances de le trouver en streaming. Petite note pratique: les catalogues changent souvent selon les pays et les dates; n’hésitez pas à vérifier sur votre plateforme locale. 

1. Halloween (1978) – Le slasher originel qui respire l’automne 

Le film de John Carpenter, c’est le parfum même d’Halloween. Des feuilles mortes qui volent, une banlieue en apparence paisible, une caméra subjective qui rôde comme un spectre, et cette musique minimaliste qui hante l’oreille longtemps après le générique. Halloween est d’une simplicité redoutable: un boogeyman implacable, un sens du cadre chirurgical, et une tension qui grimpe sans jamais se dissiper. Si vous n’avez pas encore découvert la froide élégance de la mise en scène de Carpenter, c’est le baptême parfait. 

Pourquoi le voir le 31 octobre: parce que tout y est déjà: les citrouilles, la nuit,  et le frisson primal du slasher.  

Où le voir: souvent en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). Parfois inclus selon périodes sur Canal+/OCS/Prime Video. Disponibilité variable selon pays. 

2. The Conjuring (2013) – L’art du frisson classique 

James Wan signe un retour aux fondamentaux de la maison hantée et de la possession, avec un sens du rythme et de la mise en scène qui flirtent avec la précision horlogère. petite particularité pour la manière dont le film compose ses jump scares: jamais gratuits, toujours chorégraphiés pour amplifier les énotions. Photographie ambrée, design sonore millimétré, et un duo d’enquêteurs charismatiques qui ancre l’horreur dans un drame humain: The Conjuring a la stature d’un classique moderne. 

Pourquoi le voir à Halloween: c’est exactement ce qu’on veut lors d’une soirée à plusieurs, lumières éteintes, bol de bonbons à portée de main: de l’épouvante pure, jouée avec élégance. 

Où le voir: souvent sur Max selon les régions (catalogue Warner). Aussi en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). Vérifier sur Canal+ ou Prime Video selon le moment. 

3. Hereditary (2018) – La tragédie familiale qui devient malédiction 

Avec Hereditary, Ari Aster explore le drame familial comme un rite funèbre où l’angoisse s’infiltre par capillarité. Ce n’est pas seulement un film d’horreur: c’est un deuil qui se dérègle, une maison qui se transforme en organisme vivant, une performance hallucinante de Toni Collette. J’adore sa manière de fabriquer l’effroi par des micro-décalages visuels, des cadres fixes qui transpirent le malaise, et un art du non-dit qui donne la chair de poule bien avant la nuit. 

Pourquoi le voir à Halloween: pour un frisson plus psychologique et atmosphérique, moins “parc d’attractions”, plus “rituel occulte”. 

Où le voir: souvent en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). Parfois sur Prime Video ou Netflix selon les périodes/catalogues. 

4. The Witch (2015) – Le folklore en clair-obscur 

Robert Eggers convoque l’Amérique puritaine du XVIIe siècle pour une plongée dans la terreur folklorique. Ici, la forêt est une entité, le silence une incantation, et l’innocence une denrée fragile. On admire la précision linguistique, le naturalisme des décors, et cette photographie froide qui semble sculpter la brume. The Witch (The VVitch) est un film de sortilèges: il avance lentement, mais chaque plan envoûte. On y goûte la paranoïa, la superstition et le sacrilège, jusqu’à l’extase noire. 

Pourquoi le voir à Halloween: pour l’ivresse de l’horreur folklorique, le goût de la malédiction et le parfum de la sorcellerie. 

Où le voir: souvent en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). Parfois sur Prime Video selon le territoire. 

5. Scream (1996) – Le slasher qui se regarde dans le miroir 

Wes Craven signe ici une lettre d’amour (et de sang) au genre qu’il a déjà défini. Scream est drôle sans saboter la peur, conscient des codes sans s’y enfermer. On aime sa façon de transformer le spectateur en complice, d’utiliser l’ironie comme un couteau à double tranchant, et de réinventer la règle du jeu sans trahir la grammaire du slasher. C’est pop, malin, et toujours terriblement efficace. 

Pourquoi le voir à Halloween: parce que c’est le film parfait pour une soirée “popcorn et frissons” où chacun y trouve son compte: les néophytes et les puristes. 

Où le voir: souvent en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). Parfois sur Paramount+/Canal+ selon pays et périodes. 

6. The Exorcist (1973) – Le sacré fissuré par l’horreur 

On ne présente plus L’Exorciste: son aura dépasse le cinéma d’horreur pour toucher au mythe. Ce qu'on préfère? La patience clinique du récit, le réalisme quasi documentaire qui rend l’horreur plausible. La mise en scène est d’une sobriété qui confine au sacré, la musique travaille la chair, et l’ensemble impose une gravité rare. On ne sort pas indemne de ce film, pas parce qu’il choque, mais parce qu’il interroge la foi, la culpabilité, l’invisible. 

Pourquoi le voir à Halloween: pour une séance plus solennelle, plus rituelle, 

Où le voir: souvent sur Max selon régions (catalogue Warner). Aussi en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). 

7. Get Out (2017) – Le cauchemar social sous hypnose 

Jordan Peele signe un cauchemar parfaitement calibré où le malaise s’installe à petite dose jusqu’à l’irréparable. C’est drôle, intelligent, et terriblement tendu. Ce qu’on adore, c’est la précision de la mise en scène, où chaque détail a valeur de signe. La satire affleure, mais l’horreur reste frontale. On serre les accoudoirs sans s’en rendre compte. 

Pourquoi le voir à Halloween: pour une soirée “horreur à idées”, où l’on frissonne autant qu’on discute après la séance. 

Où le voir: souvent en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). Parfois sur Netflix/Prime Video selon catalogues. 

8. The Thing (1982) – Paranoïa polaire et horreur organique 

John Carpenter encore, mais dans sa veine la plus glaciale. The Thing, c’est la brouille du réel: qui est humain, qui ne l’est plus? Entre la blancheur aveuglante de l’Antarctique et les effets spéciaux organiques d’une physicalité folle, le film déploie une angoisse claustro qui serre l’estomac. On le regarde pour son sens de l’espace, sa gestion magistrale du hors-champ, et sa musique obsédante signée Ennio Morricone. Un sommet du “who goes there?”. 

Pourquoi le voir à Halloween: pour un frisson plus “science-fiction horrifique”, avec une ambiance de groupe isolé parfaite pour une nuit froide d’octobre. 

Où le voir: en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). Parfois sur Prime Video/Canal+ selon périodes. 

9. Train to Busan (2016) – Le zombie nerveux et émotionnel 

Si vous pensez avoir tout vu en matière de zombies, ce train va vous faire mentir. Derrière l’action survitaminée, le film cache un cœur battant: personnages attachants, sens du sacrifice, et idées de mise en scène brillantes dans un espace confiné. On aime la façon dont la tension repart à chaque gare, l’utilisation inventive de la lumière, et la progression émotionnelle qui donne une véritable ampleur au carnage. 

Pourquoi le voir à Halloween: pour l’adrénaline pure, les “jump scares” qui claquent, et l’élan humaniste qui rend la survie viscérale. 

Où le voir: souvent sur Netflix selon territoires; sinon en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). 

10. Coraline (2009) – Le conte gothique qui regarde derrière la porte 

Une parenthèse d’animation qui n’en est pas moins glaçante. Coraline est un rêve éveillé à la Henry Selick, tout en stop-motion, où une petite clé ouvre une autre réalité… qui n’a rien d’innocent. Ce qu’on adore: l’inventivité plastique, l’obsession des textures, et ce ton faussement enfantin qui vire au cauchemar féérique. C’est beau, hypnotique, et plus inquiétant qu’il n’y paraît. 

Pourquoi le voir à Halloween: pour une séance familiale qui garde un vrai frisson, un “trick-or-treat” visuel où l’on passe du bonbon au couteau. 

Où le voir: parfois sur Netflix/Prime Video selon pays; disponible en location VOD (Apple TV, Google Play, YouTube). 

Bonus séries pour prolonger la nuit d’Halloween 

The Haunting of Hill House (2018) – Fantômes, deuil et génie de mise en scène 

Mike Flanagan orchestre une symphonie de hantises où chaque épisode a sa respiration, ses motifs, ses secrets. Les plans-séquences, la direction d’acteurs, la structure temporelle… tout est conçu pour que, quand le spectre apparaît, on ne sache plus si l’on tremble à cause de lui ou de notre propre mélancolie. La série te tient par la main et te lâche dans l’obscurité au parfait moment. 

Pourquoi la voir à Halloween: pour un marathon qui mêle frissons, larmes et vertiges visuels l’équilibre rare. 

Où la voir: Netflix (série originale Netflix; disponibilité sujette aux régions mais généralement accessible sur la plateforme). 

Marianne (2019) – La malédiction “made in France” qui s’insinue 

Atmosphère poisseuse, littoral nocturne, souffle démoniaque, et une figure de sorcière qui hante vraiment les nuits. On aime sa manière de jouer avec l’écriture, la réalité et la fiction, et ce sens du cadre très maîtrisé. Marianne est une petite bombe d’épouvante contemporaine, sans esbroufe, mais avec un vrai sens de l’image qui marque. 

Pourquoi la voir à Halloween: pour soutenir une horreur francophone qui n’a rien à envier aux anglo-saxons, et pour une ambiance “possession/malédiction” qui colle à la peau. 

Où la voir: Netflix (série originale, généralement disponible sur la plateforme). 

Et pour être prêt à discuter avec un vrai cinéphile horreur voici le lexique d’Halloween : 

  • Samhain: ancienne fête celtique marquant l’entrée dans la saison sombre. Atmosphère propice aux histoires de fantômes, de sorcellerie et de malédictions. 

  • Slasher: film de tueur masqué poursuivant des victimes, souvent avec un couteau. Codes: final girl, masque iconique, point de vue du tueur. 

  • Jump scare: sursaut orchestré par un contraste son/image. Efficace quand il sert la mise en scène, pas seulement le bruit. 

  • Folklore/folk horror: horreur enracinée dans des rites, mythes et croyances rurales. Forêts, cultes, traditions oubliées. 

  • Gore: représentation graphique de la violence et de la chair. À distinguer de l’épouvante, plus suggestive. 

  • Found footage: faux film “retrouvé”, caméra diégétique qui renforce le réalisme (Blair Witch, etc.). 

  • Boogeyman: figure du croquemitaine. En slasher, silhouette silencieuse, implacable. 

  • Trick-or-treat: “des bonbons ou un sort”. Motif ludique qui masque (et révèle) le visage de l’horreur. 

En guise de clap final 

Halloween n’est pas qu’une excuse pour ressortir les classiques; c’est le moment parfait pour sentir à quel point le cinéma d’horreur est un langage. On y lit les peurs d’une époque (Get Out), l’élégance d’une mise en scène (Halloween, The Conjuring), la densité d’une tragédie (Hereditary), la pulsation du mythe (The Exorcist), l’urgence d’un train lancé à pleine vitesse (Train to Busan), la beauté d’un cauchemar animé (Coraline), et l’ambition d’un feuilleton moderne (Hill House, Marianne). Il ne te reste plus qu’à choisir: bonbons, plaid, lumière tamisée, et laisse la nuit travailler. 

Profitez de l'Offre Orange Wednesday pour Halloween 

Ne manquez pas cette opportunité de découvrir ou redécouvrir des classiques du cinéma d'épouvante à deux pour le prix d’un. Réservez vos tickets et préparez-vous pour une soirée effrayante et mémorable. En profitant de deux tickets de cinéma pour le prix d’un chaque mercredi dans tous les cinémas Kinepolis Luxembourg. 

 

Vous pouvez aussi en profiter pour découvrir les films à la une : 

Black phone 2

The conjuring : l'heure du jugement

Chair de poule

The stranger : chapter 2